Un Branleur fait son Blog

L'éjaculation féminine.

Je souhaite faire le point sur la nouvelle mode que l'on voit partout dans les médias de masse mais pas seulement, j'ai nommé l'éjaculation féminine.

J'en parle aujourd'hui car il y a longtemps que je n'ai plus écrit d'article digne de ce nom sur ce site.  

Il s'agit avant tout  de faire le point sur l'avancé de la recherche scientifique, qui disons le franchement ne s'intéresse pas particulièrement au phénomène.

Je décrirai donc l'anatomie féminine, et de façon plus exhaustive le processus du phénomène. Vous aurez droit à un joli petit dessin que j'ai pu prendre sur la toile et je vous dirai ce que j'en pense moi.

Bonne lecture !

D'abord, commençons par le commencement. Comment sommes-nous nés?

Nous sommes apparus sur un caillou idyllique il y a de nombreux millénaires grâce à deux parents distincts. Le papa de l'humanité que tout le monde connait et sait reconnaître de part sa feuille de vigne en guise de cache sexe, et la maman dont la légende veut qu'elle soit née d'une côtelette de "super" papa qui, depuis, a retrouvé toutes ses facultés respiratoires depuis la joyeuse naissance.

Mission leur a été donnée de peupler la planète bleu, d'individus leurs ressemblant, et qui auraient eux aussi la mission de péréniser l'héritage ainsi acquis génération après génération. Et pour cela, une nouveauté est apparue à nos deux parents originels, celle du sexe. En effet, le sexe de notre mère commune est quelque peu différent de celui de notre père commun. Il opère la même fonction anatomique vitale propre à la survie de toutes espèces vivantes, celle de l'excrétion. Une autre fonction également commune à toute espèce vivante mais moins vitale celle là, appelée reproduction séxuée, est là aussi une nouveauté sur le satellite humide du soleil. En effet ce sera elle qui sera chargée de permettre les nombreuses générations d'individus qui feront de notre espèce, l'espèce la plus puissante de notre voisinage spatiale le plus proche. Mais sans rentrer dans le détail de la conception et de la repoduction sexuée qui ne m'intéresse pas pour cette article, je veux exposer clairement la façon dont est fait l'appareil génital femelle en-deça de l'utérus et de la procréation primaire.

Le vagin, c'est ici que tout passe mais c'est aussi dans cette zone que tout se passe. L'utérus n'est que le prolongement du vagin et n'est utile que dans de très rare cas, quand le concept de vagin a mal été compris. Le vagin est une muqueuse qui se dilate à l'approche d'un coït de la même manière que se dilate  le pénis mâle. Pour les protagonistes candidats à l'accession au 7ème ciel, ce phénomène va se produire simultanément afin que l'objectif commun soit atteint sans casse.

Le coït complice déclenche des fonctions physiologico-anatomiques essentielles telles que la lubrification, en plus de celle de la dilatation des chairs. La lubrification qui permettra le mouvement destiné à surexciter la zone vaginale, s'effectue grâce aux glandes de Bartholin, qui une fois ayant atteint son paroxysme, concourra à libérer des hormones aussi puissantes que nos meilleurs médicaments vendus en pharmacie pour quand on est malade...

Mais voilà, quand arrive le moment de changer de dimension et de recevoir la juste récompense de ce que l'on a désiré, les corps se mettent à convulser d'une manière saccadée plusieurs fois d'affilées: c'est l'orgasme.

Une étude menée par le Docteur Francisco Cabello Santamaria, établie que 75% des femmes ayant ressenti un orgasme ont émis un liquide inodore et incolore, dont la quantité varie en fonction de la patiente, de quelques gouttes à deux verres de vins. Et un sondage, chez des professionnelles de santé, a permis de révélé que 2 femmes sur 5 sont conscientes de leur éjaculation, chose qui n'est pas démontrée dans l'étude du Docteur Cabello.

Mais de quoi est fait ce liquide incolore et inodore ? Les recherches effectuées jusqu'à ce jour, par le Docteur Milan Zaviacic notamment, montre que ce liquide est sécrété par les glandes de Skène. Nous savons aussi que ces glandes participent au déclenchement de l'orgasme à proprement parler et serait même, selon certains chercheurs, directement liées à celui-ci. Or le developpement plus ou moins prononcé de ces glandes expliquerait la capacité plus ou moins aisée d'atteindre l'orgasme chez la femme.

Le schéma ci-dessus démontre clairement que la taille de ces glandes est succeptible de varier d'une femme à l'autre.

Le mythe de la femme fontaine a été passé en revue.D'aucuns disent que ces éjaculations seraient liées à une sorte d'abandon total, un relâchement paroxystique qui verrait intervenir un ou plusieurs autres organes de la zone concernée.

Ce que je comprends du phénomène c'est que l'utilité des glandes de Skène n'intervient que pour le déclenchement de l'orgasme et que l'éjaculation en elle-même n'est pas uniforme d'un témoin à un autre.